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"IL NOUS RESTAIT CENT MOTS AVANT LA PLUIE"

,Fabrice MELQUIOT

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“ CHARLIE : Je vais tuer ta mère.
MIMI : Est-ce que je te sers un café Charlie ? “      
 
Que se passe-t-il quand on n’a pas été faite pour être mère ? Que se passe-t-il quand toute sa vie on a porté sur ses épaules un rôle qui n’était pas le sien ? Que peut-il rester d’un lien filial tissé dans du mauvais coton ?  Les questions de l’oubli et du pardon dessinent les contours de ce huis clos sans que pour autant rien ne soit jamais énoncé clairement. Les personnages s’adonnent à un numéro de voltige dans les sphères du non-dit. Et c'est dans cet univers cauchemardesque bloqué en mode "repeat", que les personnages se livrent à un déchaînement de violence jusqu'à en perdre les repères du réel. Qu'est-ce qui relève de la réalité ? Qu'est-ce qui relève du fantasme ? Le frontière se fait si ténue qu'on a hâte que tout s'arrête une fois pour toute.

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Nous allons tenter d'explorer avec ce projet les questions du souvenir avec les notions de "Répétitions " et de "Variations". Qu'est ce qui fait un souvenir commun ? A ton la même perception d'un événement ? A quelle point y a t'il une distorsion de la mémoire? Et par conséquent le principe de vérité a t-il encore vraiment un sens?

 

" CHARLIE : Je vais tuer ta mère.
MIMI : Est-ce que je te sers un café Charlie ? “

DISTRIBUTION /

MIMI : Feliksa PETERSEN
CHARLIE : Emeline DUBIEF
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Scénographie: Feliksa PETERSEN
Création sonore : Philippe BOURDE

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Avec le soutient du département de la Drôme

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